Santé mentale étudiante : mieux la comprendre
jeudi 27 novembre 2025
- Briser le tabou
- Trouver des outils concrets
- Parler stress, pression, du burn out, de l’addiction, de l’isolement
- Construire un récit plus juste et plus humain sur la santé mentale
Une personne sur trois en France sera confrontée à un trouble psychiatrique dans sa vie. Parfois cela frappe à l’adolescence, parfois après un choc, parfois sans prévenir.
Dans Intérieur nuit, Nicolas Demorand de France Inter avait dévoilé cet été sa bipolarité sans fard. Il décrit les phases « up », ces moments d’« euphorie malsaine » ou d’« énergie noire » où tout semble possible… juste avant que tout s’effondre.
Puis les phases « down » : la fatigue abyssale, la douleur psychique qu’il qualifie lui‑même de « martyre », l’envie d’en finir.
Entre les deux, il « respire », dans l’attente que l’une ou l’autre retombe sur lui. « Ce qui me définit aujourd’hui, c’est d’être divisé », écrit‑il.
Ce livre n’est pas qu’un témoignage : c’est un plaidoyer pour une attention particulière, à un moment où les problèmes de santé mentale des jeunes sont en pleine croissance et où les structures de soin peinent à suivre.
En 2025, la santé mentale est cause nationale.
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