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Prix des Technologies Numériques 2021 : les lauréats

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L’édition 2021 du Prix des Technologies Numériques vient de faire connaître ses trois lauréats : Exotec Prix de la Croissance, Inbolt Prix de l’Innovation, Anne-Charlotte Fredenucci Prix du Manager.

La 23e édition du Prix des Technologies Numériques, dont le thème est l’industrie 4.0, s’est déroulée le 9 novembre 2021 à Télécom Paris. Depuis l’aube de la première révolution industrielle, les progrès technologiques ont entraîné une augmentation de la productivité. Cette corrélation est toujours vraie alors que nous sommes témoins d’une 4e révolution industrielle à l’ère du numérique.

Exotec Prix de la Croissance

La robotique au service de la préparation des commandes

Exotec, ce sont 350 collaborateur·rice·s passionné·e·s de robotique et une croissance fulgurante ! Nous avons réalisé 20M€ de chiffre d’affaires en 2019, 47M€ en 2020 et nous allons dépasser les 100M€ en 2021. Nous aurons produit 3 000 robots d’ici à fin 2021, répartis sur une trentaine d’installations en Europe, en Amérique et en Asie. Nous disposons d’un centre de contrôle qui surveille ces sites 7j/7 et 24h/24 pour résoudre 98% des pannes à distance. Nos systèmes ont préparé plus de 20 millions d’articles ces 12 derniers mois.

Et aussi : Exotec dans les médias : Les Échos, L’Usine Nouvelle | Presse-Citron

PTN 2021 Exotec

Inbolt Prix de l’Innovation

La micro-localisation au service de la fiabilité industrielle

Créée en 2019, Inbolt développe une technologie de micro-localisation basée sur des algorithmes de vision 3D de pointe par ordinateur pour tous les moyens de production industriels (outils portatifs, bras robotisés et AGV).
L’objectif est d’améliorer la fiabilité et la traçabilité des processus de fabrication dans l’industrie grâce aux données de localisation en temps réel de l’usine et à des conseils appropriés.

 

PTN 2021 Inbolt

Anne-Charlotte Fredenucci (PDG d’Ametra Group) Prix du manager

Entre tradition et innovation

PTN 2021 : Anne-Charlotte FredenucciVotre parcours professionnel ne semblait pas vous orienter vers la reprise de l’entreprise familiale. Pouvez-vous nous indiquer vos principales motivations dans ce changement qui pourrait sembler radical à beaucoup de nos lecteurs ?

Anne-Charlotte Fredenucci : Effectivement, après un diplôme de l’ESSEC et des débuts dans le conseil en stratégie chez Bain & Cie, l’industrie n’était pas nécessairement une prochaine étape évidente pour moi. Mais quand mon père m’a proposé de reprendre ce groupe, alors que je l’avais souvent entendu dire qu’il aurait aimé avoir un fils pour cela, quand il m’a expliqué que c’était la meilleure option pour les équipes du groupe, j’ai réalisé que ce choix était à la fois une obligation morale familiale et une très belle opportunité de relever un magnifique défi. Sans compter le fait que j’avais joué toute mon enfance aux trains, aux voitures, aux jeux de construction… et que, finalement, l’industrie était l’environnement qui m’attirait le plus, même si je n’avais pas osé me l’avouer…

Image d’entête : Prix des Technologies Numériques

Photos : Revue Télécom, Télécom Paris alumni